La SEDI naît d’une volonté claire et assumée d’apporter humblement sa pierre au grand édifice de sauvegarde de la planète. Ainsi, notre démarche qui se veut sociétal s’inscrit dans une initiative de réduction du gaspillage des ressources de la planète et protection de l'environnement.

Ayant pendant plusieurs années concouru à petit échelle, au remplissage des conteneurs de divers associations via les dons de vêtements inutilisés, nous nous sommes questionnés sur un acte impactant, un apport qui irait au-delà du réemploi local et national, et cette réflexion nous a conduit vers la question suivante : mais que deviennent les invendus dans l’industrie de l’habillement alors qu’on sait que les marques produisent sur les 4 saisons de l’année ? Qu’elles soient connues du grand public ou moins connues, les marques délaissent volontairement des milliers de tonnes de vêtements sur le carreau et la plupart finit par être mis en charpie (…) - car, le recyclage qui est l’une des solutions les plus viables, est souvent très onéreuse, ou rendu impossible du fait de la composition des vêtements (…). Quand on sait que dans certaines contrées du globe, se vêtir demeure un problème quotidien au même plan que se nourrir ou se soigner ; il est peinant de savoir que ces stocks de vêtements détruits pourraient d’une part, contribuer à vitaliser des économies en créant de l’activité, donc des emplois, et d’autre part, en permettant aux défavorisés de mieux se vêtir à petit prix.

Allier sa volonté de préservation de l’environnement à l’épanouissement des individus où qu’ils soient, est ce qui a motivé SEDI à nouer des partenariats avec des industriels de l’habillement et du déstockage à travers l’Europe, afin de redonner une seconde vie à leurs invendus et fins de série… 

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